Mon caractère... Haaa... Comment définir la personalité de quelqu'un ? Vaste question ! Je pourrais commencer par parler de ma nature introvertie. Oui je suis quelqu'un de plutôt réservé, presque timide. J'ai du mal a aller vers les personnes que je ne connais pas, ce qui peut donner l'impression que je suis associal. Je ne suis pas un grand optimiste, je suis plutôt fataliste en fait. Cependant je suis quelqu'un d'enjoué avec les personnes que je connais. J'ai un grand sens de l'humour, de l'autodérision, et je pense que l'on peut rire de tout. Je suis quelqu'un de cultivé. En effet, je m'interesse beaucoup a ce qui se passe dans le monde dans lequel nous vivons, le fonctionnement de la société. Cela contribue à rationalisé ma façon de penser, mes actions.
En apparence, je suis quelqu'un de blasé. J'ai un comportement nochalant, poussé à l'extrème. J'ai des difficulté a exprimé ce que je ressent, ce qui me rend mal à l'aise. Lors du décès d'un proche par exemple, je ne montre pas ma tristesse, du coup, les gens autour de moi pense que cela ne me touche pas. Je suis une personne assez buté, quand j'ai une idée en tête, je n'en change que très rarement. On dit qu'il n'y a que les cons qui ne changent pas d'avis... Je suis donc un tout petit peu con (XD). Par ailleurs, il y a un de mes traîts de caractère que je n'apprécie pas particulièrement : mon impulsivité. J'ai une grande maïtrise de moi, que j'ai appris à développer au fur et à mesure de ma croissance. Cependant, un rien peu me faire entrer dans une colère noire, pouvant me pousser jusqu'à la rage et parfois même à la haine. Ceci peut d'ailleurs être un problème lorsque je me bats, car cela me fait perdre tout sens du discernement et j'agis alors sans réfléchir, sans stratégie, ce qui peut tout aussi bien être dangereux pour moi que pour mes alliés.
J'aime, être auprès de ceux qui compte pour moi, ne rien faire, me battre, me faire draguer, gratter ma basse, boire une bière devant un match de hockey sur glace, dire a une nana qui me fait chier que "Je suis trop bien pour elle". J'aime aussi, l'économie, l'histoire, le poulet au curry avec de la semoule, la 1664, le métal, le rock'n'roll, faire de grosses fêtes, le café-clope du matin, le froid et un tas d'autres trucs tous plus ininteréssant les uns que les autres. Ah et aussi, euh... Lilaï *o*. Mais ça faut pas l'dire.
J'aime pas, le r'n'b, les pouf qui écoutent le r'n'b, Justin Bieber, les religions à la cons, le nationalisme, le totalitarisme, les mecs qui draguent Lilaï, le thé, les chaleurs étouffantes, les pancakes et tout un tas d'autres choses encore plus inintéressantes !

Physiquement, rien de très très exeptionel. Je mesure 1m85 et pèse 85 kilos. Je suis donc plutôt grand, mais non, je ne suis pas gros. Je me suis juste motivé à faire du sport et de la musculation, histoire d'avoir un peu de carrure. J'ai les cheveux longs et noirs, ils retombent dans mon cou et en mèches éparses devant mes yeux. Mes yeux sont bleus ou gris, selon mon humeur, entouré de cil épais et brun qui adoucissent un peu mon regard, et ouais c'est un truc de ouf ! Après, pour le visage, je le trouve banal, j'ai une machoire plutôt carré, même si je la trouve un peu trop fine, ma peau est pâle, je ne bronze pas, je suis plutôt du genre a prendre des coups de soleil. Quand j'étais plus jeune j'ai eu droit au fléau de l'acnée, ce qui m'as laisser quelques cicatrices à part ça elle est relativement douce. J'ai le nez plutôt fin, et droit, je le trouve pas mal, bien qu'un peu trop fin. Mes lèvres quand à elle, sont claires, légèrement rosées, un peu trop pulpeuse pour un garçon, mais apparement c'est ce qui fait mon charme. Mes dents sont blanches et bien aligné malgré le fait que je fume et boivent beaucoup de café. Mon sourire est doux et charmeur, apparement c'est mon principal atout avec mes yeux. J'ai le corps plutot bien déssiné grâce a ma pratique de la musculation. Je suis quasiment imberbes ce qui a le dont de m'énerver, j'aurais aimé avoir plus de poil. Au niveau des fringues, j'ai un style très original... Jean et T-shirt la plupart du temps, je sais c'est époustouflant ! Il m'arrive de porter des chemises, bermudas, short de bain. Enfin ça c'est plutôt en été. Pour les chaussures, je suis plus dans le style Adidas Stan Smith ou tongs, toujours en été hein. Quand j'me les cailles un peu, (oui ça m'arrive même si c'est plutôt rare), je met de grands sweat à capuches et mon super manteau noir en cuir, qui descend jusqu'au milieu des mollets, je l'adore trop, mais j'ai pas pu le mettre pour la photo vu que j'étais a la plage.

Je suis né le 27 janvier 1985 a Vancouver dans une petite clinique. Mes parents, Justine Johansen et John Andersen, m'ont éduqué d'une façon on ne peut plus traditionelle. Je n'ai quasiment aucun souvenir de ce qu'il s'est passé dans ma vie de 0à 5ans, mis a part le jour de ma rentrée en maternelle, ou j'ai, comme tout les enfants de trois ans pleurer toute les larmes de mon corps quand ma maman m'a laissé a la porte. Par contre j'ai un souvenir extrèmement précis de ma rencontre avec Lilaï. Elle était arrivé a l'école au début de l'année et je me rappelle encore de cette petite gamine au cheveux chocolat. A l'époque sa mère lui faisait sans arrêt des tresses, elle était adorable. J'avais deux ans de plus qu'elle, très peu d'amis, et elle est venue vers moi, dans sa petite robe rose pale, en sautillant comme une fée. Même si je l'ai toujours plus considéré comme une princesse. Enfin bref, elle s'est approché de moi, a planté ses mirettes dorées dans mes iris gris et, les mains sur les hanches, a déclaré d'une voix pleine d'assurance : " Toi, tu seras mon premier copain ici." J'ai accepté directement. En même temps elle ne m'as pas tellement laissé le choix... Cette gamine avait un charisme monstrueux. Quelques mois après cette rencontre on ne peux plus étrange, j'ai appris un truc encore plus étrange. J'étais allé chez elle pour goûter et soudain d'un coup a cause d'une guêpe qui lui a fait peur, elle s'est transformé. Pouf, comme ça. Deux secondes plus tôt j'avais sous les yeux une mignonne gamine brune et l'instant d'après c'est un louveteau qui se tenait devant moi. Je me souviens avoir été effrayé, mais la mère de Lilaï qui était arrivé en courant en entendant mon cri de surprise m'a rassuré assez rapidement. Après avoir calmer la frayeur de sa fille, cette dernière a repris forme humaine. Au départ j'ai un peu flippé je dois l'avouer. Mais au bout du compte avoir une copine qui se métamorphose en loup, a 5ans y a rien de plus cool.
Au final, malgré mon passage en primaire, et le fait qu'elle était resté en maternelle, nous n'avions pas perdu contact, c'est ainsi qu'en grandissant on a fait toutes les conneries possibles et imaginables pour deux gamins. Le soir, il nous arrivait souvent de rentrer couvert de boue et d'echymoses. Puis, elle a du partir. Ma seule amie. La seule personne avec qui j'étais vraiment heureux. La seule. Elle est partie. Comme ça. A cause de son père. J'ai été abbattu. J'avais jamais été très sociable et Lilaï m'avait permis de rencontrer quelques personnes, mais sans elle, c'était différent. J'avais 12ans. J'avais 12 ans et rien n'était plus comme avant. J'avais perdu ma meilleure amie. J'ai fini par me renfermer sur moi même, ma crise d'adolescence est passée a la trappe, je bossais en cours, et tout ce que j'attendais c'étais de rentré le soir me mettre sur mon ordi pour parler a Lilaï. Au alentour de 15ans, j'ai commencé a avoir des copains, sortir en bande, rencontrer des filles. Je sortais facilement avec elle, j'ai perdu ma virginité a 16 ans avec une nana qui ressemblait vaguement a Lilaï. Puis j'ai enchainer conquête sur conquête, je passais de fille en fille n'arrivant pas a me poser. Je continuais toujours a attendre impatiemment le soir pour pouvoir enfin me connecter et parler a Lilaï, je crois que c'est a cette periode là que j'ai compris que j'étais amoureux d'elle. J'ai tout fait pour oter cette idée de mon crâne en m'auto-persuadant que ce n'étais qu'un amour fraternel. Mais en y regardant bien, on fantasme pas sur le décolté de sa petite soeur quand on l'apperçoit a la cam. Je voyais aussi distinctement qu'elle n'allait pas bien, les cernes monstrueuses sous ses yeux, sa pertes de poids importantes et ses sourires forcés montraient parfaitement que l'Italie ne lui convenait pas.
Puis le jour de mes 17ans, j'ai crut que mes parents allait faire un infarctus tellement j'ai hurler fort. Bref, le jour de mes 17ans elle m'a annonçé qu'elle rentrait. Définitivement normalement. Bon, dans un an, mais elle rentrait. L'année scolaire c'est déroulé dans un brouillard flou pour moi. Puis a la fin de l'année j'ai rencontré Léa. Et je me suis mis avec elle. Une blonde, très fine, tout l'inverse de Li' quoi. Bref, les vacances d'été je les ai passé enfermé chez moi devant mon pc a prévoir avec elle tout ce qu'on allait faire. Puis, la rentrée est arrivé et mon p'tit bout de femme m'a sauté dessus. Je vous passe la scène d'éffusion niaise a souhait qui en découla, ainsi que l'immonde crise de jalousie de Léa. Enfin bref, les vacances de printemps sont arrivé et j'ai embarqué Lilaï dans un petit chalet tranquille tout près d'un lac, dans un petit village. On a discuté de tout et de rien pendant des heures, je lui ai parlé de Léa qui commençait a vraiment me taper sur les nerfs avec ses crises de jalousie. Puis, le soir j'ai eu envie d'une promenade. Si j'avais su que ça se passerait comme ça... Qu'elle serait blessé... J'aurais oublié cette idée, mais bon, nous sommes sortis. Il faisait bon, Lilaï était heureuse, elle sautillait gaiement de ci et de là en riant. Son corps sveltes m'hypnotisait, peut-être que si ça n'avait pas été le cas, j'aurais entendu les hommes qui s'était rapproché de nous. Mais non... Quand l'averse a éclaté, que des trombes d'eau on commencé a tombé, qu'on a voulut rentré et que j'ai vu les trois hommes, j'ai eu un réflexe un peu débile avec une fille comme elle, j'ai voulut la pousser derrière moi pour la protéger, mais ses affaires était déjà réduite en lambeaux et c'est une énorme louve qui se tenait a mes coté. Elle m'a regarder d'un air implorant qui signifiait "Cours ! Va t'en !" comme si j'avais pu la laisser seule. C'est a ce moment qu'elle s'est mise a grogner et que deux des hommes, (ils avaient chacun un couteau) m'ont chopé et m'ont immobilisé. Et là... Là j'ai flippé parce que j'ai vu que le troisième homme avait un flingue et qu'il le braquait sur Lilaï. Ma Lilaï. Puis j'ai voulut hurler mais j'ai juste entendu les détonations. J'ai vu Lily se prendre une balle et la rage s'est mise a bouillir en moi. J'ai jamais vraiment compris ce qu'il s'était passé, mais un mur de glace immense s'était formé devant Lilaï. Je l'ai vu s'effondrer au sol et reprendre sa forme humaine, j'avais tellement peur que j'ai même pas fait attention au fait qu'elle soit nue, tout ce que je voyais c'était du sang... Beaucoup de sang... Son sang... Alors la pluie s'est transformé en aiguille. Elle se sont planté dans les deux gars qui me tenait, ils ont donc été obligé de me lacher et j'ai foncé comme un gland vers le mec armé. Lilaï a voulut crier quand il a braquer son flingue sur moi, mais trop faible elle s'est évanouie.
Il a tirer, j'ai sentit l'impact sur ma poitrine, j'ai reculé de plusieurs mètres, mais je n'étais pas mort. La balle n'avait pas réussis a traversé ma peau. Une sorte de coque de glace recouvrait la totalité de ma peau. Je me suis alors avancé de quelques pas et j'ai fixé l'homme en face de moi. J'étais comme possédé par une puissance qui me dépassait, le mec a posé sa main sur sa poitrine a l'emplacement du coeur, et s'est effondré a genoux. Après quelques râles de douleurs, il a suffoqué avant de s'effondrer. Mort.
Je me suis alors retourné et j'ai courut vers Lily en appelant une ambulance. Finalement les docteurs m'ont annoncé que c'était pas grand chose, que la balle avait juste abimé sont articulation, qu'elle avait perdu beaucoup de sang mais qu'elle allait bien. Les mois qui ont suivi ont été occupé a la rééducation de l'épaule de Lilaï et a l'apprentissage de la maîtrise de mon pouvoirs. Puis deux années ont passé et je me rappelle encore de ce putain de jour de merde. J'étais comme d'habitude affalé sur mon canapé dans ma chambre d'étudiant et Lilaï commatait gaiement sur mes genoux tandis que je caressais son épaisse tignasse quand tout a coup, elle s'est redressé d'un coup et m'a regarder droit dans les yeux, comme ce fameux jour de maternelle :

-"Nat ? "
-"Humm ?"
-"Viens on baise !"

J'ai bien crut que j'allais m'étouffer avec mon coca. J'me suis redressé d'un coup essayant tant bien que mal de me réveiller. Puis quand j'ai compris que je ne rêvais pas, j'ai eu peur, et j'lui ai dit, que non, vraiment ce n'était pas possible, on ne pouvait pas et blablabla, tout ce que je ne pensais pas au final. Puis comme d'habitude, elle m'a cloué le bec, elle s'est approché et m'a embrassé. Comme ça. Sans se poser de question. Typique de Li'. J'ai pas pu m'en empêcher, mes mains sont venues d'elle même se poser sur ses hanches, et le petit gémissement qu'elle a poussé a cet instant précis, m'a fait tout oublier de mon discours précédent, je l'ai fait rouler sur le canapé et j'ai dépucelé la nana dont j'étais amoureux depuis 5 ans. Le problème c'est que le lendemain matin quand je me suis réveillé dans le lit. J'étais seul. Tout ce qu'il me restait d'elle, c'était les quelques cheveux qu'elle avait perdu durant son sommeil. Elle n'avait laissé aucune indication sur l'endroit ou elle avait fuit. J'ai chercher, en vain pendant 4 ans. J'ai déménager a San Franscisco pour finir mes études d'éco et pour me changer les idées Vancouver était trop pleine de souvenirs avec elle. Puis après avoir eu mon diplôme, j'ai reçut une lettre d'une pension. La Pension Mahora, sur une île du même nom, au Japon. En regardant la liste des employé de l'école j'ai remarqué directement son prénom. Alors c'était là qu'elle se cachait pendant toute ses années..? J'ai foncé, sans même réfléchir, qui plus est l'île était réservé aux mutants. Ca m'allait plutôt bien. Voilà comment j'ai débarqué sur l'île. J'y suis que depuis deux jours et j'ai pas encore commencer le boulot, mais bientôt je te retrouverais Lilaï.