Han, c'est bien parce que ces étapes sont dites "indispensables" par l'admin du forum (j'te hais IKU !!! ) que je perds mon temps à en prendre soin x') ... Envie de RP moi ='/ !
Bon je peux quand même vous raconter deux trois trucs à propos de Neil mais pas tout ! Sinon, il n'y aura déjà plus de surprises avant que ça soit commencé !

Du à mon enfance difficile et rempli d'indépendance, j'ai grandis particulièrement vite; étant obligé de développer un esprit critique pour ne pas être la souris au bon milieu de tout ces vilains minous, j'ai acquis un stade de maturité, qui plus est, arrivé un peu trop prématurément (Watch ! C'est le cas de l'dire ><' ). On ne me pas élevé, j'ai été recueilli par un jeune.... (*ZBAFF !!! Neil : Si ils veulent savoir, ils n'ont qu'à lire l'histoire que je me suis obstinément ennuyé à te raconter ! Et ça se dit auteur... * ) bon et bien vous comprendrez très vite les raisons de mon comportement... Relativement téméraire tout en restant altruiste, je déteste qu'on ne partage pas avec moi; la raison pour laquelle il ne sera pas rare que je me montre généreux envers vous toutes et vous tous. Pour finir en beauté, j'ai la bonne ou sale, à vous de juger, manie de prendre un peu tout à la légère de faire tourner tout par l'humour... Ca m'a déjà joué des mauvais tours -_-' ...

Bon, ça fait une heure que je vous cite mes qualités et vous vous dites surement : " Oh my god ! il a que des qualités ce personnage, what's the fuck ?! " Et je vous prend maintenant au dépourvu car je suis également bourré de défautS, à commencer par ma prétention et mon égaux ... Désolé pour les féministes, j'essayerai de faire un effort ^.^' (J'vais me faire tuer sur ce forum de fou :D ! )
Légèrement nerveux sur les bords, je déteste faire attendre les autres mais je déteste par dessus tout que l'on me fasse attendre, comme qui dirait: " Ma patience n'a pas de limite, évidemment j'ai pas de patience ==> Huhuhu ... ==> :Ok je sors !: "...

Un gros boudeur flegmatique, je n'hésiterai pas à râler lorsque je n'aurai pas ce que je veux... Et j'espère que mon enthousiasme, aussi factice qu'il soit, m'accompagnera et m'aidera à au moins suivre la moitié des cours de l'année, même si ma somnolence perpétuelle me rattrapera lorsque j'aurai les fesses sur ma chaise.

Complètement geek, je vous laisses pas sans savoir que je suis très rêveur... Et oui un somnolent qui n'est pas rêveur, c'eut été trop louche x) ! Toujours en possession d'un support pour bouquiner, dessiner, jouer... Je ne passe jamais mon temps sans avoir quelque chose dans les mains, tout simplement parce que ça me stress ! Et quand même tout ça ne suffit plus, je sors de mon "sac de voyage" une cigarette (accro le petit Neil ! ) et matérialise une flammèche du bout de mon index gauche... (ouai le zippo c'est pour faire genre :'3 )

PROLOGUE :

Un ciel noir, à travers lequel de fines vapeures écarlates venaient se confondre aux seules lueurs que projetait une pleine lune pure... Il n'était pas rare de voir ce genre de phénomène dans ces régions; on dit que les habitants de ces dernières étaient tous nés sur un autel de braise... Le 28 avril, c'est la date du solstice ardent, la naissance d'un enfant de température corporelle anormalement chaude, adoptée par le chef d'un vieux village situé à l’extrémité du monde pourrait-on croire... La fête était destinée à un enfant des cendres.

Neil avait fêté ses 4 ans aujourd'hui, cela faisait quelques heures que le peuple festoyait, la bière coulait à flot, les feux d'artifices les plus prestigieux détonnaient en son honneur pendant que chaque personnalité importante du peuple offrait un cadeau à l'enfant, notamment un présent de la part de son père.

Souviens-toi de ce jour, Neil... Une coupe de cendre sacrées venant tout droit du mont Hildaz. A l'heure où je te parle, tu ne dois sûrement pas te douter le moins du monde de la valeur de ce puissant artefact que je t'ai légué; prends-en soin, fils.

Le chef détourna le regard de la coupe après l'avoir délicatement bloqué entre les faibles doigts du petit bout de chou dont les yeux flamboyaient d'honneur devant la coupe en or sur laquelle de microscopiques runes serties de rubis scintillaient mélangeant une lumière lunaire et un éclat rouge sang ! Et Neil s'endormit sur le dos de son père...

HISTOIRE :

NEIIIIIL !!!

Du rouge, du noir... De l'obscurité et du sang, un amalgame menant à la violence et la haine... C'est tout ce dont je me souviens. Ce soir-là les hurlements fusaient à travers le village, des halos de fumées noires virevoltaient de toutes parts... Nous avons été attaqué et je n'en connais toujours pas la raison, à vrai dire, je ne pense pas y trouver une quelconque explication. De la barbarie, de la violence gratuite... Je ne sais toujours pas dire si j'ai aimé cette nuit, un nuit en mon honneur... Il n'y a pas que la bière qui aura coulée ce soir-là !

Je me suis réveillé écrasé par le cadavre de mon père, le village brûlait, le peuple fuyait... Les cendres étaient étalées sur mon torse dégagé par la négligence dont j'avais fait preuve en attachant mon kimono de cérémonie. Je n'arrivait plus à retirer les cendres et la coupe avait disparue... Mon corps devenait de plus en plus chaud, je toussais lourdement alors que des étincelles omni-présentes jaillissaient de ma gorge... Je les ai tous massacrés, le feu s'émanait des pores à la surface de mon enveloppe charnelle... Je pouvais voir toutes les molécules qui matérialisaient le monde qui nous entoure, j'avais le pouvoir de les faire bouger... Pas exactement, ce sont mes sentiments, je l'ai sentis, ma haine à agitée l'atmosphère... Il n'en restait plus un seul et mes souvenirs se ternissent à ce moment précis...

Je me suis réveillé une semaine après la tragédie, dans un lit aussi dure que le magma durcis sur le flanc de son volcan. Une fenêtre en oscillo-battante laissait percer quelques rayons de soleil, une lueur qui me donnait l'impression d'un déjà vu... Une tasse de thé bouillant décoré un plateau orné de feuille de laurier en platine au chevet de la chambre... Il en ramenait une tout les matins, j'en suis sûr; sinon je n'aurai pas l'impression d'avoir renifler un rail d'aromates de feuilles de Mycep (cité du thé disait-on)... La porte s'était ouverte avec douceur et perfidie, en tout cas c'était l'impression que j'avais ressentis lorsque j'aperçu une demi pupille enjambée par quelques mèches dorées...

Salut, bien dormis ? Lanca un inconnu qui semblait avoir mon âge.

Ca fait combien de temps que je comate !? Grognais-je...

Presque une semaine... Me répondit-il intimidé.

Je me leva assez maladroitement, trop même, en tout cas j'avais sentit tous mes os craquer l'un après l'autre...J'avais l'impression qu'ils craquaient depuis une heure alors que ça n'a duré que deux secondes. Le garçon se trouvait en face de moi et je vis qu'il essaya de me dire quelque chose de sorte que je reste encore un peu au lit en sirotant le breuvage qu'il m'avait préparé, mais avant qu'il ne puisse prononcer la moindre syllabe, je le bouscula d'un coup d'épaule me frayant un passage à travers un étroit couloir ornementés de plusieurs fresques qu'il avait probablement et visiblement faites lui-même...

Et attend ! Lança le garçon aux mèches dorées.

Je ne lui accorda pas le moindre signe d'attention, j'étais beaucoup trop pris à réfléchir et méditer sur l'incident qui s'était passé et dont je n'avais pas plus de souvenir. Je voulais savoir comment et pourquoi j'en étais arrivé là, comment avais-je fais pour terrassé nos envahisseurs moi tout seul, en tout cas c'est ce que j'en eu conclu étant donné que j'étais le seul encore à être debout sur ce champ de bataille dévasté par le chaos et la soif de pouvoir. J'étais alors vraisemblablement arrivé dans la pièce qui servait de cuisine voyant une cafetière tremblé à cause des perturbations thermiques qui agissaient sur le métal, vaporisant une petite quantité de son contenant. Le flammèches n'avaient pas la même apparence que d'habitude, plus je m'en approchait, plus elles se divisaient en de petites boules et devinrent presque impossible à toutes les dicerner à l'oeil nu; je commencais à peine à comprendre, j'avais vaguement entendu parler d'une prophétie dans mon ancien village - qui ne ressemble plus qu'à un tas de cendre provoqué par le décès de phoenix gargantuesque - qui parlait d'un élu, d'un enfant des cendres. Et si c'était moi ?

Te fatigue pas, t'es pas le seul...

Mon hôte m'avait crachait ces paroles à la gueule, en ne m'adressant pas la moindre attention...

Comment ça ? Et puis comment se fait-il que tu puisse savoir à quoi je pensais ?!

Te fatique pas petit. Me dit-il avec la plus grande audace (oui il était plus petit que moi en taille) en me tendant un tract...

Je pris le bout de parchemin et il me fit savoir qu'il était agé de 74 ans, j'avais encore une fois pensé un peu trop fort. C'était un avis de recurtemennt pour une pension qui avait été construite pour les gens anormaux, comme moi quoi... Elle était situé sur une petite île isolée, j'imaginais déjà une île chaotique consumée par les nombreux pas de travers commis par les gens de mon espèce.
Mon sac était déjà prêt, c'est mon hôte qui me l'avait préparé... Je sentis alors une main se déposée sur mon épaule avec sagesse me poussant légèrement à franchir la porte d'entrée ou de sortie dans ce cas qui me confronterait enfin au monde extérieur. Une nouvelle vie commence, les pieds dehors il me tendit le sac en souriant comme on sourit à son fils avant qu'il ne parte pour un long voyage.

Tu ne viens pas ? Le questionnais-je.

Non j'ai encore deux, trois petits problèmes à régler. Mais ne t'inquiète pas, nous nous reverrons très bientôt; tu peux en être certain Neil ! Plissant maintenant ses paupières toujours en souriant.

Je ne m'attarda pas plus et me mis en route à l'aide de la carte qu'il m'avait confié avec délicatesse et une confiance totale. Comment connaissait-il mon nom ? Il ne savait apparement que lire dans les pensées...

EPILOGUE :

En chemin, Neil seul comme il l'avait toujours été; rencontra plusieurs autres adolescent, différents couples, différentes familles, et dans tout les cas, les individus rencontrés n'étaient jamais seuls. Ignorant son manque d'affection et n'en faisant qu'à sa tête, ce n'est qu'après cinq long kilomètres de marche guidé par sa conscience pendant qu'il eut été plongé dans ses pensés, que Neil aperçu un petit bateau de pêcheur qui avait l'air vachement ridicule, reposant en slalomant sur le bord de la plage.. Au fur et à mesure qu'il approchait de celui-ci, il se fit de plus en plus imposant, majestueux, prestigieux même ! Et vraisemblablement, de plus en plus squatté.

Neil se précipita pour prendre le bateau, orné de rayures rouges et dorées, qui s'ouvrait apparemment à lui et engagea une croisière de deux petites heures à travers un océan bleu marine saupoudré de reflets turquoises et bleu nuit. La crépuscule commença à s'imposer, les fines lueurs du soleil qui donnaient encore signe de vie il y a 5 minutes seulement, s'éteignirent... Une lumière éclairait la baie sur laquelle Neil commença à naviguer et se rapprochant de la lumière, il aperçut une île...

Un matelot qui faisait sans doute partis de l'île quitta le pont du bâtiment qui voguait silencieusement, il s'approcha de deux autres équipiers et chuchota après un bref clin d'oeil coquin...

Jetons l'ancre les amis !

Ils se mirent à trois pour soulever la charge qui provoqua une secousse perturbante au sein du navire... Neil alla chercher ses effets (composé de son arme à feu, et sa chaîne => voir techniques) impatient malgré son caractère de loup solitaire et de sa timidité plus que marquée; il sauta spectaculairement sans attendre l'aide qu'on lui eut proposée, un peu tard à son goût certes, il leva la tête et à travers toute l'obscurité qui était regroupé autour de lui, une fine lumière jaune transpercée d'un point noir apparue... Il avait simplement relevé la tête.