Jours fériés, fêtes et évènements de l'île.

Les jours fériés sur Mahora sont claqués sur les jours fériés du reste du Japon même si certaines dates diffèrent et que certains évènements sont ajoutés et d’autres retirés. Les jours identiques aux jours fériés japonais sont en gras, les jours fériés propres au système de Mahora sont en italiques et les fêtes qui ne sont pas fériées sont en caractères normaux. Vous trouverez à la fin de cette liste un rapide descriptif des différentes fêtes propres à Mahora. La plupart des fêtes sont en lien dirigeant vers la page wikipédia qui les décrit.

21 février : La fondation de la ville de Mahora a été estimée à cette date. Ce jour là, tout le monde se rend aux différents temples de l’île et effectuent certains rituels qui visent, selon les dires des habitants, à renforcer la chance et la prospérité. Le soir venu, une grande fête est organisée sur la place de Matahira. C’est d’ailleurs dans ce district que les festivités sont les plus impressionnantes puisqu’il s’agit du premier district peuplé de Mahora et cela depuis –154.

11 avril : Ce jour est celui de la naissance du roi actuel de Mahora. Les célébrations se font généralement devant le Palais de Rubis et sont marqués par des festivités importantes et tardives.

6 mai : Cette fête rend hommage aux 1300 victimes de l’épidémie qui ravagea Mahora en 1571. Les cérémonies se font sur le mémorial qui se trouve sur la muraille d’Uminari. On y dépose en général des gerbes de fleurs et des prières.

Du 7 au 13 mai : Durant la deuxième semaine du mois de Mai se déroule le Kintaro no Kai, ou "Rassemblement des Kintaro". Dans les légendes japonaises, Kintaro est un enfant à la force surhumaine élevée par une ogresse ; sur Mahora, le terme de Kintaro désigne en fait, de manière générique, tous les Métamorphes. Ceux-ci ayant été évincés des Jeux Olympiques Humains à cause des lois anti-dopage, de nombreuses manifestations furent créées pour elles. Durant la deuxième semaine, tout Mahora retentit des cris de joies et d'efforts poussés par les supporters et les athlètes, car tous les jours se déroulent des épreuves physiques à faire blêmir les Médailles d'Or humains !

21 juillet : Fête commémorant le souvenir des 75 habitants originaux de Mahora. Cette fête est marquée par le « lancer rose ». Une coutume qui consiste à jeter des milliers de roses de couleur rose par-dessus les falaises des criques de Matahira.

11 août : Cette fête est analogue dans son fonctionnement à notre Saint Valentin occidentale. Cependant, une dimension historique et dramatique est rajoutée à la fête puisqu’elle correspond, selon les archives locales, le jour auquel se produisit les évènements de Mitsurugi et de Tsukuyomi. Selon l’histoire, Mitsurugi et Tsukuyomi, deux jeunes personnes de, respectivement, 14 ans et 13 ans, tout deux issus de familles nobles, tombèrent amoureux l’un de l’autre. Cependant, leurs parents respectifs avaient décidé tout autrement et leur avaient déjà imposé une autre personne aux deux tourtereaux. Malgré les plaintes de Mitsurugi et de Tsukuyomi, leurs parents ne changèrent rien à leurs projets et le mariage avec les personnes imposées allait avoir lieu dans une semaine. Cependant, Mitsurugi et Tsukuyomi, la veille du ledit mariage forcé, décidèrent mutuellement de s’enfuir vers un endroit où ils pourraient vivre comme ils le voulaient : ensemble. C’est ainsi, que ce soir du 15 juillet 1606, ils partirent vers un secteur encore inhabité de Mahora : Mizurei. Une fois sur place, Mitsurugi et Tsukuyomi utilisèrent leurs pouvoirs pour construire une petite maison encastrée entre les plus hautes dunes du district. Ils vécurent heureux pendant un an. Hélas, le 11 août 1607, ils furent retrouvés par leurs parents qui les forcèrent à rentrer chez eux et de se marier selon ce qu’ils avaient prévu. Voyant qu’ils n’arriveront pas à faire changer d’avis leurs parents, Mitsurugi et Tsukuyomi se prirent la main mutuellement et Tsukuyomi regarda Mitsurugi qui fit un signe de tête. Par la suite, elle se tourna vers ses parents et prononça : « Si vous ne voulez pas, eux, ils voudront bien ! »
A ces mots, une violente déflagration se produisit au niveau du couple et détruisit tout sur vingt mètres à la ronde. Les parents ne s’en sortirent qu’avec de légères blessures mais cela causa la mort des deux amoureux. La nouvelle se répandit rapidement sur toute la petite île et la population décidèrent de rendre hommage aux deux jeunes amoureux qui n’avaient pas hésité à se tuer afin de pouvoir vivre ensemble pour toujours en baptisant les dunes dans lesquelles ils avaient pris refuge : Dunes de Tsukuyomi. L’année suivante, le roi et la reine votèrent une Loi qui interdisait les mariages forcés et le viol sur Mahora. Ces Lois furent baptisées Lois de Mitsurugi et de Tsukuyomi. Quant à la dernière phrase prononcée par Tsukuyomi : « Si vous ne voulez pas, eux, ils voudront bien ! », est depuis gravée sur chaque pièce de monnaie de l’île et affichée au-dessus des portes de toutes les habitations des Seigneurs de l’île. Lors de la fondation du temple dans le secteur de Mizurei, en 1621, la Prêtre de l’époque dédia une salle aux deux amoureux. Le 11 août, fut jour férié depuis l’année 1662. La tradition veut, que ce jour, tout les amoureux de l’île se rendent au temple de Mizurei afin de demander la bénédiction de Tsukuyomi et de Mitsurugi. Depuis ce jour, ils ne sont jamais tombés dans l’oubli et c’est l’un des jours fériés les plus populaires de Mahora.

11 novembre : Ce jour est celui de la naissance de la reine actuelle de Mahora. Les célébrations se font généralement devant le Henseiseki no Oukyuu et sont marqués par des festivités moins importantes et moins tardives que celles de l’anniversaire du roi.